mardi 4 octobre 2016

Le Mardi sur son 31 #22




Bonjour !


J'espère que vous allez bien et je vous remercie d'être au rendez-vous pour ce nouveau Mardi sur son 31. :-)

L'idée de ce rendez-vous hebdomadaire est de Sophie, du blog Les bavardages de Sophie et elle est très simple :  tous les mardis, vous ouvrez le livre que vous êtes en train de lire à la page 31 et vous choisissez une phrase. Elle peut être révélatrice du roman, vous plaire par son style, vous déplaire… Bref vous êtes libre! (explication empruntée à Sophie elle-même)

Pour ma part, je choisis en général un peu plus qu'une phrase - 2 ou 3, en général - car la plupart du temps, une seule phrase n'est pas suffisante pour être vraiment révélatrice du style ou de l'histoire, et surtout, ne veut pas dire grand-chose sortie de son contexte.


Ma lecture en cours :






Ethelred Tressider écrit des romans policiers sous trois noms différents. Et, ces temps-ci, il a trois fois plus de problèmes que n’importe qui. Avec l’inspiration d’abord, qui commence à lui faire sérieusement défaut, avec son agent littéraire ensuite, l’encombrante Elsie, qui n’aime ni la littérature ni les écrivains, avec son ex-femme enfin, Géraldine, qui vient de disparaître mystérieusement. Lorsque le corps de celle-ci est retrouvé près de chez lui et que la police évoque la piste d’un tueur en série, l’infatigable Elsie pousse notre brave romancier à exploiter d’hypothétiques talents de détective pour résoudre cette étrange affaire qui, elle en est convaincue, saura lui rendre l’inspiration. Mais y a-t-il vraiment un tueur en série ? Et si oui, est-ce vraiment lui qui a tué Géraldine ?









La page 31 ne comprenant que 6 lignes, je vais tricher un peu, pour une fois, et vous donner un extrait de la page 43, qui est exactement le genre d'humour qui me fait rire : 

"Il jouait avec son gros verre en cristal taillé, une des rares épaves que j'avais réussi à sauver du naufrage de mon mariage. Il fit d'abord pencher le liquide d'un côté, puis de l'autre, observant l'effet produit avec curiosité. Ayant rapidement épuisé les différentes façons de faire pencher un whisky, il fut bien obligé d'en venir au but."


Et plus loin, à la page 44 : 

"Si j'avais eu la présence d'esprit de me servir un verre à moi aussi, j'aurais pu lui faire le coup du whisky penché, au lieu de quoi je me contentai de répondre : (...)"













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