mercredi 18 janvier 2017

Le Mardi sur son 31 #30




Bonsoir !

J'espère que vous allez bien et je vous remercie d'être au rendez-vous pour ce nouveau Mardi sur son 31, qui arrive avec 24h de retard, mais je n'étais pas très en forme, hier. 😡

L'idée de ce rendez-vous hebdomadaire est de Sophie, du blog Les bavardages de Sophie et elle est très simple :  tous les mardis, vous ouvrez le livre que vous êtes en train de lire à la page 31 et vous choisissez une phrase. Elle peut être révélatrice du roman, vous plaire par son style, vous déplaire… Bref vous êtes libre! (explication empruntée à Sophie elle-même)

Pour ma part, je choisis en général un peu plus qu'une phrase - 2 ou 3, en général - car la plupart du temps, une seule phrase n'est pas suffisante pour être vraiment révélatrice du style ou de l'histoire, et surtout, ne veut pas dire grand-chose sortie de son contexte.



Ma lecture en cours : (enfin, finie hier soir, mais comme je n'en ai pas encore commencé d'autre, on va faire comme si...)






Annie Virene, jeune auteur spécialisé en romance vampiresque, remporte une audience grandissante auprès du public. Surfant sur la vague du succès, elle vient même de décrocher une interview à la radio dans une émission littéraire très prisée. Au cours de cet événement médiatique, elle émet le souhait très ironique de rencontrer un jour l’une des créatures qu’elle met en scène.

Quelque temps plus tard, elle reçoit, par l’intermédiaire de son éditrice, une bien mystérieuse invitation qui bouleversera à jamais son existence.

S’il s’agit incontestablement d’une histoire d’amour, ce roman plein de rebondissements vous ravira par l’originalité avec laquelle il vous mènera hors des sentiers battus du genre...







Et à la page 31, on peut lire : 





"J'ai eu la confirmation que je n'avais pas rêvé l'apparition de Deniel cette nuit. Il semble que les vampires possèdent réellement des dons pour influencer notre psychique. Un peu comme les hypnotiseurs. Il m'a plongée dans un sommeil qu'il a qualifié de réparateur (je n'ai pas osé m'enquérir des autres formes de léthargie qu'ils pouvaient dispenser). A cette annonce, je me suis sentie offusquée. Je ne suis pas sûre de ce qui s'est réellement passé par la suite..."


















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