jeudi 16 mars 2017

Le Mardi sur son 31 #35




Bonsoir !

J'espère que vous allez bien et je vous remercie d'être au rendez-vous pour ce nouveau Mardi sur son 31, même si, c'est avec beaucoup de retard que je vous le présente. Mais en réalité, je pense que peu de monde aura remarqué ce retard vu que personne - ou presque - ne le lit (en tout cas, si je me fie aux commentaires)


L'idée de ce rendez-vous hebdomadaire est de Sophie, du blog Les bavardages de Sophie et elle est très simple :  tous les mardis, vous ouvrez le livre que vous êtes en train de lire à la page 31 et vous choisissez une phrase. Elle peut être révélatrice du roman, vous plaire par son style, vous déplaire… Bref vous êtes libre! (explication empruntée à Sophie elle-même)

Pour ma part, je choisis en général un peu plus qu'une phrase - 2 ou 3, en général - car la plupart du temps, une seule phrase n'est pas suffisante pour être vraiment révélatrice du style ou de l'histoire, et surtout, ne veut pas dire grand-chose sortie de son contexte.


Ma lecture en cours :





Ils auraient dû se méfier. 
Respecter le couvre-feu instauré depuis le meurtre du jeune Tommy Harper, retrouvé étranglé près de la voie ferrée. 
Reposer ce vieux grimoire poussiéreux tant qu'il était encore temps. 
Et surtout... ne pas en tourner les pages.
À présent, Sean le rêveur et sa bande vont devoir affronter le Mal absolu : à Edgecombe, petite ville tranquille de Nouvelle-Angleterre, les éléments se déchaînent, de nouveaux adolescents disparaissent et de mystérieux hommes au charisme effrayant font leur apparition... Et si ce livre maudit détenait la clé du plus effroyable mystère de l'humanité ?












Et à la page 31, on peut lire :


"  ― Comment ça se fait qu'on s'est jamais vraiment parlé avant, demanda Zach, on habite à côté l'un de l'autre et on n'est pas devenus de bons potes ?
  Sean avait bien une idée. On est différent, et puis toi t'es LE Zach, moi je suis juste un mec du quartier que t'as jamais remarqué, comme tous les autres. Mais il voyait mal comment l'exprimer clairement. Il se contenta de dire :
  ― Je sais pas, on traîne sûrement pas dans les mêmes coins."
















8 commentaires:

  1. Coucou Gribouille ! Personnellement j'aime bien cette chronique et surtout j'aime bien te lire tout court ;)

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Oh... Ça c'est gentil ! Ça me fait vraiment plaisir ! Merci ! :-)

      Supprimer
  2. Ah j'accroche vraiment pas avec l'écriture de Chattam, je sais pas pourquoi ! Pourtant le résumé est tentant.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

      Supprimer
    2. En même temps, dans ce roman, on sent que son écriture n'est pas aboutie. Son style n'est pas aussi maîtrisé que dans ses autres ouvrages. Mais c'est excusable vu que c'est son premier roman.

      Supprimer
  3. Mais si Gribouille, nous te lisons ! Je t'avoue que ce n'est pas le rendez-vous que je préfère mais je le suis régulièrement.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Lol. J'ai l'impression que j'ai fait ma Calimero. Je ne sais pas pourquoi mais moi je l'adore ce rdv. Merci, en tout cas. :-)

      Supprimer
    2. Tu l'aimes car toi, tu es dans le livre et du coup un extrait te parle peut être plus qu'à nous qui ne connaissons pas nécessairement ce que tu lis. C'est une autre forme de partage cela dit, intéressante également.

      Supprimer

N'hésitez pas à laisser un petit mot, ça fait toujours plaisir ! :-)