Bonjour à tous !
J'espère que vous allez bien et je vous remercie d'être au rendez-vous pour ce nouveau Mardi sur son 31, même si c'est avec un peu de retard que je vous le présente.
L'idée de ce rendez-vous hebdomadaire est de Sophie, du blog Les bavardages de Sophie et elle est très simple : tous les mardis, vous ouvrez le livre que vous êtes en train de lire à la page 31 et vous choisissez une phrase. Elle peut être révélatrice du roman, vous plaire par son style, vous déplaire… Bref vous êtes libre! (explication empruntée à Sophie elle-même)
Pour ma part, je choisis en général un peu plus qu'une phrase - 2 ou 3, en général - car la plupart du temps, une seule phrase n'est pas suffisante pour être vraiment révélatrice du style ou de l'histoire, et surtout, ne veut pas dire grand-chose sortie de son contexte.
De plus, je voudrais rajouter que si je n'ai pas fini mon livre le mardi suivant, j'ai décidé de faire quand même un Mardi sur son 31 mais en prenant un extrait de la page 131, puis de la page 231 si je ne l'ai toujours pas fini le troisième mardi, etc...
Donc...
Ma lecture en cours :
Cas Lowood a hérité de son père une charge bien étrange : il tue les morts. Armé d'un poignard que lui seul peut maîtriser, Cas parcourt le monde accompagné de sa sorcière de mère et de son chat, véritable radar à fantôme.
Sa prochaine mission : anéantir Anna Korlov, dite "Anna vêtue de sang" . Encore vêtue de la robe qu'elle portait le soir de sa mort, l'esprit de la jeune fille hante la maison où elle a été assassinée. Malheur à quiconque ose s'aventurer de sa demeure : on n'en sort pas vivant.
Ce qui devait être un travail de routine se solde par un désastre. De chasseur, il devient la proie. Anna, la fascinante Anna, est bien plus puissante qu'il ne le pensait. Pourtant, elle a choisi de l'épargner... Pourquoi ? Qu'est-ce qui la rend si différente des autres fantômes ? Et qu'est-ce qui le pousse à remettre sa vie en jeu pour tenter de la tuer - ou de lui parler à nouveau ?
Et à la page 31, on peut lire :
"Le lac Supérieur s'étend au pied de la ville comme un chien endormi. Mon père disait que les morts aiment la proximité de l'eau. Rien ne les attire autant, ni ne les dissimule mieux."
Thunder Bay |
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