mardi 28 septembre 2021

Le Mardi sur son 31 #53

 



Bonjour !


Voici un nouveau numéro du Mardi sur son 31 😊


L'idée de ce rendez-vous hebdomadaire est de Sophie, du blog Les bavardages de Sophie et elle est très simple :  tous les mardis, vous ouvrez le livre que vous êtes en train de lire à la page 31 et vous choisissez une phrase. Elle peut être révélatrice du roman, vous plaire par son style, vous déplaire… Bref vous êtes libre! (explication empruntée à Sophie elle-même)

Pour ma part, je choisis en général un peu plus qu'une phrase - 2 ou 3, en général - car la plupart du temps, une seule phrase n'est pas suffisante pour être vraiment révélatrice du style ou de l'histoire, et surtout, ne veut pas dire grand-chose sortie de son contexte.

De plus, je voudrais rajouter que si je n'ai pas fini mon livre le mardi suivant (comme cela m'arrive souvent), j'ai décidé de faire quand même un Mardi sur son 31 mais en prenant un extrait de la page 131, puis de la page 231 si je ne l'ai toujours pas fini le troisième mardi, etc...



Donc...


Ma lecture en cours :


Les refuges, de Jérôme Loubry



Installée en Normandie depuis peu, Sandrine est priée d’aller vider la maison de sa grand-mère, une originale qui vivait seule sur une île minuscule, pas très loin de la côte.
Lorsqu’elle débarque sur cette île grise et froide, Sandrine découvre une poignée d’habitants âgés organisés en quasi autarcie. Tous décrivent sa grand-mère comme une personne charmante, loin de l’image que Sandrine en a.
Pourtant, l’atmosphère est étrange ici. En quelques heures, Sandrine se rend compte que les habitants cachent un secret. Quelque chose ou quelqu’un les terrifie. Mais alors pourquoi aucun d’entre eux ne quitte-t-il jamais l’île ?
Qu’est-il arrivé aux enfants du camp de vacances précipitamment fermé en 1949 ?
Qui était vraiment sa grand-mère ?
Sandrine sera retrouvée quelques jours plus tard, errant sur une plage du continent, ses vêtements couverts d’un sang qui n’est pas le sien…







Et à la page 31, on peut lire :



Quand il l'avait vue franchir le seuil de l'agence, une quinzaine de jours auparavant, tenant une valise et une feuille sur laquelle était notée l'adresse de sa destination, Vincent avait ressenti une explosion au creux de son estomac. Un choc brutal, une secousse sismique dont les ondes se propagèrent jusqu'à son cœur venait de frapper sournoisement ce natif du village. 






Côte normande





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